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25/09/2009

Consultation citoyenne contre la privatisation de la Poste

Les partis et associations de gauche organisent dans toute la France un référendume citoyen sur la privatisation de la Poste.

En effet, malgré les promesses électorales du Président de la République, le gouvernement a refusé de permettre cette consultation par le biais des communes comme le sont toutes les consultations démocratiques de notre Pays. Les partis de gauche et mouvements associaifs citoyens ne veulent pas renoncer et organisent ce vote du 1er au 3 octobre. A Vif, il aura lieu vendedi 2 et samedi 3 octobre matins à la salle Bonnier, sous la trésorerie.

Venez nombreux

Ci-joint un communiqué de presse

Communiquéprivatisation Poste.doc

16/09/2009

Suppression du défenseur des enfants !

Suppression du défenseur des enfants !

 

C’est avec stupeur que je viens d’apprendre la disparition prochaine de cette institution, encore jeune certes, mais parfaitement justifiée dans son existence. 

 

Créée en 2000, 11 ans après l’adoption par les Nations Unies de la déclaration des droits de l’enfant dont on fêtera les 20 ans cet automne à Paris, cette institution a prouvé son utilité pour venir en aide aux enfants en difficulté mais aussi comme entité de réflexion éthique sur la place des enfants dans notre société.

 

L’actualité nous rappelle encore trop souvent les conditions de maltraitance que les enfants vivent dans bien des milieux et bien des domaines. Cette actualité aurait dû plutôt inciter les pouvoirs publics à renforcer son action, plutôt que de la diluer. Cette décision est absolument incompréhensible du point de vue moral, symbolique et au regard des intérêts des enfants. Elle est révélatrice d’une volonté de réduire ou de banaliser la question des droits des individus et donc de vouloir réduire l’exercice démocratique de ces droits.

Cette décision me renvoie à celle de la disparition progressive des services déconcentrés en régions et dans les départements des déléguées aux droits des femmes et de la fonte du ministère portant le même nom dans le ministère des affaires sociales.

 

Comme pour les droits des femmes, les droits des enfants ne seront donc plus visibles directement et seront fondus dans un service global qui tendra à les banaliser… Nous assistons à un nivellement inacceptable !

 

Les enfants, les femmes et tous les citoyens sincères apprécieront !

 

En tant que Vice-présidente du Conseil général de l’Isère, chargée de l’enfance, de la famille et des droits des femmes, je m’insurge contre cette décision survenue sans concertation, à quelque niveau que ce soit, sans même que la principale intéressée n’aie été consultée, deux mois avant le grand rassemblement des enfants et jeunes qui préparent avec la défenseure des enfants, l'anniversiare de la déclaration des droits de l'enfant.

Il faut réagir collectivement, Manifestez vous, je vous attends !

 

Ci - joint le communiqué de presse de Mme VersiniCPDominique VERSINI relatif à la suppression de l'institution du Défenseurdesenfants3.pdf

06/09/2009

Après une semaine de reprise

Le rythme des réunions et rencontres reprennent leur cours effréné... et, l'actualité est déjà bien fournie entre le national et le local.

Face aux promesses gouvernementales de supprimer la taxe professionnelle et après avoir institué le bouclier fiscal qui déjà pénalise les collectivités territoriales, dans un contexte de transfert de charges qui s’alourdissent de mois en mois face à la crise économique structurelle de notre pays et ses évolutions démographiques. Du RSA à la prestation compensatrice handicap (PCH) et l’allocation personnes âgées (APA), nous somme désormais devant un projet de réforme des collectivités territoriales qui va précipiter leur perte.

En effet, la réforme qui s’annonce est ni plus ni moins que l’expression d’une volonté farouche de supprimer les contres pouvoirs que représentent les élus locaux des communes, intercommunalités, départements et régions. Mais, plus grave encore, derrière cette réforme, par l’assèchement des collectivités locales, c’est aussi la diminution des services publics de proximité qui est aussi visée.

Ce projet sera débattu dès la fin du mois au Sénat. Je vous invite à vous y intéresser, c’est votre quotidien qui en sera dégradé, si la loi passe en état !

Dès que possible, je vous en présenterai les différents aspects.

 

30/06/2009

De fortes inquiétudes de la part du FCVG comme des élus du canton

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Le  Foot de la Vallée de la Gresse (FCVG), par l’intermédiaire de Damien Fossa, son président jusqu’au 26 juin dernier, s’exprimait gravement mais de façon déterminée sur les besoins du club pour répondre aux attentes des 450 licenciers et sur leurs inquiétudes face aux soubresauts qui traverse le SIVOM Uriol, chargé de gérer les équipements sportifs existants et à venir du sud du canton de Vif.

 

En effet, le 24 juin, le SIVOM d’Uriol réunissait son comité directeur pour deux délibérations majeures. L’une concernait la demande de retrait du syndicat de la commune de Vif, l’autre modifiait les statuts.

 

Sur la première délibération, alors que la municipalité de Vif pense qu’en sortant du syndicat, elle affirme son attachement à l’intercommunalité et qu’elle pourra de l’extérieur mieux négocier les objectifs du syndicat et peut-être sa représentation, les sportifs du FCVG, eux, s’inquiètent des retards que risquent de prendre les élus pour répondre à leurs attentes.

 

Il est vrai qu’ils attendent depuis de longues années déjà et que l’ensemble des terrains qui leur sont mis à dispositions, à Vif, Le Gua et Varces sont, soit inadaptés et vieillissants, soit insuffisants ou difficilement entretenus.

 

Notre objet n’est pas stigmatiser qui que ce soit, mais il apparaît évident que ceux qui demandent la sortie, sont ceux qui ont le plus de retard en équipements sportifs et le plus besoin de la mutualisation intercommunale pour investir.

 

A partir de là, leur positionnement est assez incompréhensible !

 

Comment peut-on croire être en position force, en sortant d’une structure et en demandant à y rentrer à nouveau, quelques mois plus tard ?

 

Et puis, comment négocier une meilleure représentation et au nom de quoi, quand on est le partenaire qui en a le plus besoin ?

 

Est-il réaliste de penser que la commune de Vif pourra, seule, rattraper son retard d’équipement dans ce mandat pour ensuite demander son intégration ?

 

Peuvent-ils nous faire croire qu’ils sont dans une optique de construire les terrains de jeux que demandent les sportifs, alors qu’ils clament par ailleurs que la commune est trop endettée ?

 

Toutes ces questions nous laissent septiques. Les élus du SIVOM ne pourront pas attendre et il est fort à parier qu’ils recomposeront leur développement sans Vif et avec d’autres communes qui sont prêtes à jouer le jeu de l’intercommunalité.

 

La deuxième délibération portait sur l'arrêt de la mutualisation de l'entretien des équipements existants et le maintien exclusif de la compétence de création et de gestion d'équipements nouveaux. Cette nouvelle donne facilitera l'entrée de nouveaux partenaires sur la base donc essentielle d'un futur développement, que ce soit en équipements sportifs ou culturels.

19/05/2009

Le maire de Vif a le triomphe modeste !

Le maire a le triomphe modeste, nous le savions depuis longtemps. Il aime aussi se prévaloir de tel ou tel soutien, laissant à penser que seule sa personne est visée. Quelle modestie !

Si l’on en croit son récent éditorial du journal de Vif, les projets de notre commune et le plus important, la voie de rabattement, ne tient que par les financements du Conseil général et de la Metro. C’est vrai, mais c’est aussi tout le travail réalisé pendant le précédent mandat pour rendre le projet conforme aux exigences environnementales qui lui a donné tout le crédit nécessaire.

Le maire aime donc se prévaloir de soutiens, surtout s’ils proviennent d’élus qui n’appartiennent pas à sa famille politique. C’est sans doute encore une coquetterie !

Il oublie seulement de dire que, que ce soit de la part du Conseil général ou de la Métro, les financements en question étaient déjà assurés avant les élections municipales de 2008. Des écrits en attestent. Mais peut-être pensait-il qu’avec le changement intervenu à Vif, cela pouvait remettre en cause ces engagements…

Mais ces pratiques ne sont pas les nôtres. Pour nous, ce qui est engagé par les uns, en l’occurrence, par des élus socialistes desquels je suis, pour le développement d’une commune ou d’un territoire est suivi et tenu. L’avenir des territoires, le développement des entreprises ne peuvent pas être ainsi livrés aux aléas électoraux au risque de voir leur avenir entaché.

Comme d’habitude, le maire oublie de citer la Conseillère générale de Vif que je suis, qui a pourtant participé à des réunions avec le Vice-Président des routes et les services concernés. Il oublie de dire comment j’ai défendu la position de Vif dans ce dossier et comment il m’en a remercié de vive voix. Il dû penser que cela était suffisant !

Mais ce qu’il ne sait pas, c’est que mes amis politiques du Conseil général comme de la Metro ne manquent jamais de me consulter avant d’avancer le moindre engagement pour notre canton.