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06/01/2009

Chaque année commence par le même rituel de souhait de bons vœux !

Cette année 2009 ne déroge pas à la règle et pourtant la morosité ambiante nous donne l’impression de ne plus vraiment y croire…
Il n’est pourtant pas question de céder au pessimisme. Il n’y a rien de pire que cela et il n’y a rien de tel pour accentuer les tendances aux récessions ou aux dépressions… et puis, c’est dans l’adversité que les forces véritables se révèlent !

Si 2008 n’a pas été à la hauteur de nos espérances, tant sur le plan politique que social ou économique, nous devons tout faire pour que 2009 relève le défi !

Sur le plan international, l’élection de Barack Obama aux Etats Unis nous montre, en partie, le chemin de la sagesse et de l’espérance… Sagesse d’un peuple qui avance dans la réconciliation des origines ; espérance d’un peuple qui croit en un autre avenir pour lui même…

Sur le plan national, en France, l’inquiétude cède encore à l’espoir… c’est aussi le symptôme de nos exigences… Pourtant il nous faut nous convaincre de notre chance, de nos chances pour évoluer dans le bon sens.

Toute crise peut être salutaire, si l’on veut qu’elle le soit !

Et si, celle là devenait un accélérateur pour atteindre plus vite les objectifs que nous construisons depuis plusieurs années sur le plan environnemental, et ainsi préserver notre planète et notre avenir collectif.
Et, si nous en profitions pour atteindre plus vite une société plus juste socialement, plus « redistributive », et cela de façon durable, donc non pas uniquement dans un esprit de réparation ou d’assistance mais bien dans un esprit de partage et d’intégration du plus grand nombre, dans le respect de la diversité humaine et de ses cultures.
Et, si nous en profitions sur le plan économique, là aussi, pour faire en sorte que chaque continent puisse prospérer et trouver sa juste place sur notre planète ; c’est à dire évoluer dignement, dans une croissance respectueuse des besoins matériels du plus grand nombre mais aussi dans le respect de la planète.

Le progrès serait celui-là. Celui d’un réel respect des êtres humains, de leurs droits à accéder à la satisfaction de leurs besoins primaires mais aussi de leurs besoins intellectuels, voire spirituels. Ceci, dans le respect de valeurs sur lesquelles nous ne devons pas transiger qui sont celles de l’égalité et de la fraternité entre les êtres d’où qu’ils viennent.

Le 2Ième siècle serait donc celui du respect ; respect entre les hommes, entre les hommes et les femmes (en tournant le dos à l’esprit de domination), entre les riches et les pauvres (en faisant que chacun le soit moins), respect entre les continents tant sur le plan économique que social et environnemental…
2009, achèvera la première décennie, qu’elle soit l’année qui nous montre le chemin pour atteindre cette société qui doit être celle du 21ème siècle.
dans cet espoir, je vous souhaite une excellente année 2009

23/03/2008

Cher père Noël,

Je t’écris pour te demander une jolie gauche.
Je voudrais une gauche qui ne laisse pas passer un traité européen qui reprend les termes d’une Constitution refusée par le peuple.
Je voudrais une gauche qui invente un modèle économique dans lequel le travail prévaut sur la rémunération du capital.
Je voudrais une gauche qui propose des créations d’entreprises solidaires.
Je voudrais une gauche qui prône la solidarité entre les humains et qui rappelle aux consommateurs européens que chaque achat enclenche un rapport social (quand on se gave de produits manufacturés par des ouvriers payés 1 euro par jour, on est le commanditaire du capitalisme sauvage).
Je voudrais une gauche qui replace l’acquisition des connaissances et la culture au centre des revendications.
Je voudrais une gauche qui reconnaisse l’existence de l’individu et lui propose des échanges qui créent une société heureuse.
Et aussi, je voudrais une gauche capable de se présente unie aux élections. Voilà c’est tout !

Philippe Pagès – Toulouse.
"Lu dans Télérama"

Même si ce n'est plus l'heure d'écrire au père Noël... les élections sont passées... Je fais miens tous ces rèves...
Brigitte Périllié

26/11/2007

La gestion des logements sociaux

La question posée portait sur le manque de logements sociaux et le fait que des familles qui, même si elles ne répondent plus aux critères sociaux d’accès au logement social, restent notamment dans des grands logements alors que les enfants sont partis.