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30/03/2008

Clause de l'Européenne la plus favorisée

Jeudi 27 mars 2008, je recevais dans l'hémicycle du Conseil général de l'Isère, Gisèle Halimi, venue présenter à un auditoire largement féminin et féministe, le travail commandité par elle-même et son association "Choisir", sur les législations comparées des 27 pays européens, qui concernent majoritairement les femmes, comme le droit à la contraception et à l'avortement, le mariage, le droit du travail, la parentalité...

Un auditoire évidemment conquis à sa cause... des femmes et qui a vu là, un sujet capable de donner un nouveau souffle à la lutte des femmes pour leurs droits...

Au nom du Conseil génénral, j'ai tout de suite apporté mon soutien financier à ce projet, pour que la cause des femmes européennes avance et que l'Europe puisse trouver dans cette démarche, une méthode qui pourrait s'appliquer à l'harmonisation par le haut de l'ensemble des lois des pays européens notamment sur le plan social, mais aussi sur toutes les législations...

Affaire à suivre !

GISELE HALIMI.jpg

23/03/2008

Cher père Noël,

Je t’écris pour te demander une jolie gauche.
Je voudrais une gauche qui ne laisse pas passer un traité européen qui reprend les termes d’une Constitution refusée par le peuple.
Je voudrais une gauche qui invente un modèle économique dans lequel le travail prévaut sur la rémunération du capital.
Je voudrais une gauche qui propose des créations d’entreprises solidaires.
Je voudrais une gauche qui prône la solidarité entre les humains et qui rappelle aux consommateurs européens que chaque achat enclenche un rapport social (quand on se gave de produits manufacturés par des ouvriers payés 1 euro par jour, on est le commanditaire du capitalisme sauvage).
Je voudrais une gauche qui replace l’acquisition des connaissances et la culture au centre des revendications.
Je voudrais une gauche qui reconnaisse l’existence de l’individu et lui propose des échanges qui créent une société heureuse.
Et aussi, je voudrais une gauche capable de se présente unie aux élections. Voilà c’est tout !

Philippe Pagès – Toulouse.
"Lu dans Télérama"

Même si ce n'est plus l'heure d'écrire au père Noël... les élections sont passées... Je fais miens tous ces rèves...
Brigitte Périllié